Au revoir, Alma!

La délégation du Centre-du-Québec a récolté 24 médailles aux Jeux du Québec, qui se tenaient à Alma, du 24 février au 4 mars.

Vingt-quatre médailles, c’est une de plus que la dernière édition des Jeux d’hiver de Drummondville en 2015. Au cumulatif, les athlètes de la région ont terminé au onzième rang avec une récolte de 170 points.

«On n’avait pas d’objectif précis quant à notre récolte de médailles et pour ce qui était de notre position au classement, on pensait terminer au alentours du quinzième rang», a fait savoir le chef de mission, Maxime Lemire.

Les sportifs ont amassé 6 médailles d’or, 7 d’argent et 11 de bronze.

C’est en haltérophilie que la délégation du Centre-du-Québec a récolté le plus de médailles avec trois d’or, toutes remportées par la Drummondvilloise Lily-Pier Ouellet. C’est d’ailleurs cette dernière qui a été la porte-drapeau lors des cérémonies de fermeture. En plus de ces médailles, la délégation a également mis la main sur l’argent à une reprise et sur le bronze à trois occasions. En 2015, les haltérophiles avaient terminé au 12e rang au classement régional alors que cette année, ils ont pris le sixième échelon.

Les pongistes ont également fait bonne figure avec une médaille d’or, trois d’argent et une de bronze, terminant au deuxième échelon du classement.

Parmi les belles réussites des Jeux, on compte la médaille d’or de l’équipe féminine au hockey, inscrivant son troisième titre consécutif, et une deuxième place pour les hommes.

@ST:Quelques points de perdus

@R:Le Centre-du-Québec aurait pu terminer quelques échelons plus haut s’il avait été en mesure d’avoir le nombre suffisant d’athlètes par catégories pour recueillir le nombre maximum de points.

Les disciplines telles que le ski de fond, le ski alpin, la boxe, le trampoline et le judo vivaint une pénurie d’athlètes dans la région, ce qui n’avait pas été le cas l’an passé.

«Les Jeux de 2015 se passaient sur notre territoire, ce qui a possiblement aidé à avoir le nombre suffisant d’athlètes dans chaque discipline», a-t-il expliqué.

À cela, il faut ajouter qu’il pouvait parfois arriver que les athlètes n’avaient pas l’âge requis pour s’inscrire à la discipline en question.