Un Princevillois condamné pour voies de fait et séquestration

Trouvé coupable dans une affaire de voies de fait et de séquestration, un Princevillois de 41 ans, Normand Bourget, a pris le chemin du centre de détention le 31 août.

Ce jour-là, au palais de justice de Victoriaville, le juge Guy Lambert de la Cour du Québec l’a condamné à cinq mois d’emprisonnement et à une période de probation de deux ans.

À la suite de son procès tenu au printemps, Bourget a été déclaré coupable, le 16 mai, de trois des huit chefs d’accusation auxquels il faisait face. Le juge Lambert l’a trouvé coupable de voies de fait, de séquestration et de harcèlement à l’endroit d’une femme.

À sa sortie de prison, le Princevillois, sous le coup d’une période de probation de deux ans, devra se présenter dans les sept jours à un agent de probation, suivre toutes ses directives et entreprendre toutes thérapies relativement aux problèmes de violence conjugale.

À cet effet, le Tribunal recommande l’organisme Homme Alternative.

Normand Bourget, par ailleurs, ne peut communiquer avec la victime et ses proches, ne pas être en leur présence physique.

Il lui est interdit également de se trouver au domicile de la victime, de même qu’à son lieu de travail.

Par ailleurs, la Cour l’empêche de travailler ou d’être bénévole pour Ambulance St-Jean au Québec.