Jean Beaulne fera la promotion de son livre au Festival du bœuf

Jean Beaulne sera de passage au Festival du bœuf d’Inverness le samedi 2 septembre entre 11 h et 19 h pour la promotion de son livre «Le dernier des Baronets».

Après avoir fait les salons du livre, l’artiste originaire de Montréal fait actuellement une tournée des festivals afin de prendre un bain de foule et de dédicacer son livre.

«C’est également l’occasion de revoir des connaissances», de dire l’homme de 75 ans qui en sera à une première visite à Inverness, mais qui s’est déjà produit tout près, que ce soit à Thetford Mines, Plessisville ou Victoriaville, avec les Baronets au début des années ’60.

M. Beaulne raconte dans son livre comment il a fait la connaissance de René Angélil et de Pierre Labelle en 1957. En 1964, la version française de plusieurs chansons des Beatles propulse d’ailleurs le groupe au sommet de la gloire. «Et si nos enregistrements de 1965 à New York n’étaient pas restés sur les tablettes, nous serions devenus des vedettes et René n’aurait pas connu Céline», lance-t-il en riant.

Jean Beaulne devient ensuite impresario ainsi que producteurs d’albums, notamment ceux de Joël Denis, France Castel et des Bel Canto. Il découvre aussi bon nombre d’artistes exceptionnels, dont André-Philippe Gagnon, Mario Pelchat et Marina Orsini.

Lorsqu’il s’installe à Los Angeles pour travailler en cinéma, sa bonne étoile met également sur sa route des vedettes telles que De Niro, Pacino et Bullock. Cinq ans plus tard et de retour au Québec, il devient documentariste. Son travail lui permet de côtoyer les plus grands, dont Streisand et Bennett. C’est plus d’une centaine d’artistes des États-Unis, de la France et du Québec qu’il rencontre ainsi dans le cadre d’entrevues et de tournages.

M. Beaulne s’offrira un autre volume en 2018 portant sur le monde artistique. Il est également à préparer un nouveau documentaire sur le show-business, dont des images ont été tournées au Québec et en Californie.

«Je suis un passionné et ne veux jamais m’arrêter. J’espère vivre jusqu’à 100 ans», conclut-il en invitant les gens de la région à venir le rencontrer à Inverness.