De la poésie pour l’éveil spirituel

Lucie Grenier présente son premier recueil de poésie. Intitulé «Un parfum d’éternité… L’éveil spirituel à travers la poésie», le livre est publié par les Productions boule de neige, la maison d’édition victoriavilloise qu’elle dirige avec Francyn St-Hilaire et qui se spécialise dans l’édition musicale.

Cela fait plus de 30 ans que les deux femmes oeuvrent dans le domaine musical. Tout a commencé avec Lucie qui voulait partager une méthode pour apprendre la guitare. Avec Francyn, qui travaillait dans l’imprimerie, elles ont mis sur pied cette affaire qui fonctionne encore aujourd’hui et qui, à un certain moment, employait une trentaine de personnes. «Nous n’éditons plus depuis quatre ans, mais continuons de distribuer. Nous avons plus de 200 livres de musique», explique-t-elle.

Maintenant presque retraitée, Lucie s’est laissé convaincre, par son frère Jean-Marie, de publier le recueil de poèmes qui font du bien. «J’ai toujours été attirée par la spiritualité et j’aime beaucoup la poésie», explique-t-elle simplement.

Le recueil regroupe donc 40 poèmes méditatifs sur des thèmes variés, chacun accompagné d’une jolie et apaisante photographie. «La poésie, c’est facile pour moi. J’ai toujours adoré le français. C’est une langue qui me parle et qui me permet d’exprimer la profondeur de mon âme», confie-t-elle.

Le livre propose des pensées et des réflexions dans une approche philosophique, propice à l’introspection et au recueillement. «Qui s’adresse à tous ceux qui ont le désir d’éclairer leur vie. C’est un bien-être que je veux offrir avec ce livre», note l’auteure.

Lucie et Francyn ont réalisé toutes les étapes de conception et d’impression et le livre est disponible chez Buropro (pour le moment). Mais puisque la maison d’édition musicale a ses entrées chez Archambault, des démarches sont en cours pour pouvoir y vendre le livre.

Pour les Production boule de neige, il s’agit d’une première que ce livre de poésie et les deux femmes ne sont pas fermées à d’autres projets d’édition dans ce genre. «Il faut que ça nous touche toutefois», indiquent-elles.