Je change de camp et j’appuie Karine Vallières

Karine Vallières, l’avenir de la politique. Je sais, c’est big comme déclaration. Et je l’assume. La politique qui me fait vibrer, c’est celle que vit la députée de Richmond, Karine Vallières, au quotidien.

C’est elle qui le dit et je la cite : «Je ne fais pas de politique, je la vis». Je la suis sur les réseaux sociaux et je l’ai rencontré à quelques reprises. C’est vrai qu’elle la vit. Elle est inspirante, pas partisane, ouverte d’esprit, à l’écoute et très terre à terre. Selon moi, c’est ça, l’avenir de la politique : sentir que la personne comprend les enjeux, qu’elle comprend la personne qui est en avant d’elle, dans l’instant présent.

Sentir que c’est l’individu qui prime et non la politique. Savoir que quelqu’un va défendre la population dans le meilleur de ses intérêts. Savoir cette personne présente sur le terrain. J’ai été candidat pour la Coalition avenir Québec en 2014 dans le comté d’Orford. Aujourd’hui, ce parti ne rejoint plus mes valeurs. Le parti libéral du Québec fête cette année ses 150 ans et j’aurais déjà dit que c’est un vieux parti, mais c’est en échangeant avec elle que j’ai compris : ce n’est pas un vieux parti, le parti sera ce que nous sommes. Il sera la somme des individus qui croient en ses valeurs fondamentales et en sa vision.

Karine Vallières me permet de croire que le cynisme peut diminuer, que des politiciens peuvent être là pour les bonnes raisons et rester authentiques à travers les aléas que représente un parti. J’ai envie d’être aux côtés de Karine Vallières pour rajeunir le parti, le faire nôtre et continuer à travailler ensemble au sens commun et à la prospérité. C’est pour cette raison que j’annulerai cette semaine ma carte de membre de la CAQ pour prendre celle du PLQ dans le comté de Richmond et que je me joins à l’équipe de Karine en tant que bénévole.

Pour que ça change en politique, il faut reconnaître les vrais talents et il faut le dire, Karine fait les choses différemment. Joignez-vous au mouvement. Appuyez Karine pour montrer qu’on veut plus de gens comme elle en politique. Parce que c’est elle, l’avenir de la politique.

Marc-Alexandre Bourget

Sherbrooke