Un milieu de vie encore plus chaleureux au CHSLD du Chêne

Grâce à l’appui financier de la Fondation de l’Ermitage et du CIUSSS Mauricie-Centre-du-Québec, le Centre d’hébergement du Chêne propose un milieu de vie plus chaleureux et invitant.

C’est en présence de la ministre responsable des Aînés et ministre déléguée à la Santé, Sonia Bélanger, accompagnée du whip en chef du gouvernement et député d’Arthabaska, Eric Lefebvre, que l’établissement victoriavillois a inauguré ses unités centrales réaménagées. 

Ces unités présentent plusieurs repères environnementaux qui sont familiers et rassurants pour les personnes hébergées au CHSLD. On y retrouve notamment des photos d’époque, un banc de bois et des instruments de musique. La cuisine et le salon ont également été redécorés et les corridors sont plus lumineux. En plus d’une contribution de 50 000 $ de la part du CIUSSS, la Fondation de l’Ermitage a versé un don de 250 000 $.

Le président de la Fondation de l’Ermitage, Philippe Rancourt, mentionne que c’est à la suite d’une visite ministérielle que le projet a vu le jour. « Tout de suite, nous avons fait de cette évaluation une occasion pour mobiliser une équipe à l’interne et l’amener à rêver à un projet qui redonnerait un chez-soi agréable et stimulant », dit-il.

La ministre Bélanger est grandement impressionnée par ce résultat. « Vous avez la chance de faire partie des premiers CHSLD à offrir un milieu de vie aussi sécurisant. Bravo pour cette mobilisation citoyenne, c’est vraiment exemplaire », a-t-elle déclaré.

Mme Bélanger fait valoir qu’après les années plus difficiles vécues durant la pandémie, cette ambiance rassurante apportera le réconfort d’un milieu de vie encore plus humain, « qui se rapproche le plus près possible du confort d’un domicile ».

Le député d’Arthabaska a salué le dynamisme de la Fondation de l’Ermitage. « Cette générosité est vraiment exceptionnelle et la participation de notre belle communauté est incroyable. Ce réaménagement des unités centrales saura susciter un plus grand sentiment d’appartenance chez les personnes hébergées », a souligné M. Lefebvre.