Élections fédérales 2015 : Marc Desmarais met de l’avant les mesures du plan libéral pour les aînés

COMMUNIQUÉ. À titre de représentant régional du Parti libéral du Canada, le candidat de la circonscription Richmond-Arthabaska, Marc Desmarais, s’est adressé hier aux membres et invités de la Table régionale de concertation des aînés de l’Estrie dans le cadre d’un débat amical initié par ceux-ci. Luc Berthold, Catherine Lusson et Caroline Bouchard y représentaient respectivement les partis Conservateurs, NPD et le Bloc québécois.

L’objectif de la rencontre étant de mettre l’accent sur les enjeux des ainés et de rapprocher le politique des citoyens et citoyennes ainés, les candidats ont été appelés à répondre tour à tour à sept questions posées par les tables des sept MRC de la grande région.

Sur la question du supplément de revenu garanti, destiné aux ainés à faible revenu, le candidat libéral a réitéré l’intention de son parti d’augmenter significativement cette prestation de 10%, et ce, dès l’arrivée au pouvoir pour les aînés à faible revenu vivant seul. «Cela peut représenter jusqu’à 920 $ par mois dans les poches de ces gens qui en ont bien besoin, a-t-il affirmé, des gens qui souvent, auront travaillé au salaire minimum toute leur vie.» L’âge de l’admissibilité à la pension de la sécurité de la vieillesse sera aussi abaissé de 67 à 65 ans sous les libéraux.

L’accès à un logement décent et abordable est aussi une préoccupation chère à la clientèle des aînés. Là-dessus, le plan d’investissement dans les infrastructures proposé par les libéraux prévoit une place de choix aux logements à prix modiques et aux résidences pour personnes âgées.

Le sujet des soins de compassion, souvent donnés par un proche aidant à un parent malade ou en fin de vie, a quant à lui soulevé beaucoup d’émotion. L’introduction d’une prestation de compassion pour les gens qui prennent soin d’un membre de la famille sera élargie sous un gouvernement libéral. Elle sera ainsi plus facile d’accès, plus souple et plus inclusive. «Les aidants familiaux ne seront pas obligés de prendre les six mois admissibles dans un seul bloc, ils pourront l’étaler en fonction de leurs besoins sur une période d’un an, d’avancer Marc Desmarais. Les gens qui prodiguent des soins en soirée ou en fin de semaine ou à un