Une nouvelle rue se dessine à Victo

VICTORIAVILLE. Quelques soumissions ont été reçues, mais le plus bas soumissionnaire, l’entreprise La Sablière de Warwick a décroché le contrat au coût de quelque 1 116 700 $ afin d’exécuter des travaux d’aqueduc, d’égouts et d’infrastructure pour la construction d’une nouvelle rue du nom d’Archibald-Campbell en bordure de la rue du Filtre dans le parc industriel Fidèle-Édouard-Alain.

Les travaux rendront accessibles 12 ou 13 nouveaux terrains dans ce secteur de la fraisière Gagné.

Les élus ont résolu également de confier à Services EXP un contrat 92 400 $ pour les services professionnels relatifs à la phase trois de la construction de cette nouvelle rue.

Une nouvelle traverse piétonnière

Les élus victoriavillois vont de l’avant avec cette recommandation du Comité des transports visant l’aménagement d’un passage pour piétons sur le boulevard des Bois-Francs Sud.

Ce passage se situera à la hauteur des Habitations Oasis. «On devra procéder aussi à un rétrécissement de la chaussée, à l’avant, pour sécuriser la traverse», a souligné le greffier Me Yves Arcand.

Par ailleurs, c’est à l’automne que les résidents verront le pavage de certaines rues.

Il en coûtera 131 930 $ pour les travaux sur la rue des Berges alors que ceux des rues des Glaïeuls, des Géraniums et des Iris requièrent un investissement de 124 300 $.

Des arbres

Victoriaville confie à Signé Garneau le contrat de près de 15 500 $ pour la fourniture d’arbres que la Ville remet à des citoyens.

«Depuis deux ans, nous remettons des arbres matures pour les nouvelles constructions. Et nous en remettons par tirage aux citoyens qui s’inscrivent. Ainsi, 600 arbres s’ajoutent à ceux plantés par la Ville», a souligné le maire Alain Rayes.

Entente renouvelée avec les Tigres

La Ville de Victoriaville renouvelle, pour une période de cinq ans, son entente avec les Tigres, l’équipe de la Ligue de hockey junior majeur du Québec, pour l’utilisation de l’amphithéâtre Gilbert-Perreault du Colisée Desjardins.

«L’entente concerne principalement le prêt du bâtiment, et certains autres points, comme l’utilisation des locaux, l’amélioration du système Wi-Fi. De plus, la Ville reprend la gestion, la responsabilité de la boutique (pro-shop)», a signalé le maire Rayes.