Pour Pascale Fortin, il est temps que l’environnement devienne enfin une priorité pour le gouvernement. En misant sur les forces de la région, la candidate de Québec solidaire met de l’avant trois mesures concrètes qu’elle s’engage à mettre en oeuvre au cours de son mandat si elle est élue le 3 octobre.
« Avec la crise climatique, il est facile de se sentir dépassé devant l’inaction des gouvernements successifs. À Québec solidaire, nous sommes le seul parti qui propose des solutions en environnement qui feront qu’au Québec, on avancera enfin dans la bonne direction. Il est temps d’agir pour que mes deux enfants aient de bonnes raisons d’avoir de l’espoir en l’avenir », indique Pascale Fortin.
Québec solidaire Arthabaska s’est entouré d’experts du milieu afin de mettre de l’avant les propositions qui auront non seulement le plus d’impact en environnement, mais qui répondent aux besoins de la région.
Favoriser les reprises agricoles écologiques
Pascale Fortin s’engage à favoriser les reprises agricoles écologiques en offrant un meilleur financement et accompagnement aux agriculteurs de la relève qui tient compte des diverses formes de propriétés agricoles. Cette proposition permettrait non seulement de réduire les émissions de GES liées à l’agriculture, mais aussi de répondre à l’enjeu où les étudiants en
agriculture biologique du Cégep de Victoriaville peinent à s’établir dans la région, alors qu’il y a des terres agricoles qui tombent en friche et de nombreux producteurs agricoles qui partent à la retraite et ne trouvent pas de relève.
« Il est temps que notre région rayonne en matière d’agriculture durable et assure une relève agricole à nos producteurs. Pour ce faire, nous devons miser sur nos forces. On peut être fier d’avoir ici une expertise avec notamment l’Institut national d’agriculture biologique (INAB), le Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA), le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB), ferme 59 — le projet de communauté de
fermier dans L’Érable —. », indique la candidate de Québec solidaire Arthabaska.
Offrir un service de transport en commun efficace
Pascale Fortin s’engage à bonifier l’offre de transport en commun urbain et régional afin que les citoyens aient une réelle alternative à l’auto solo pour se déplacer. La candidate déplore que les personnes les plus vulnérables n’aient pas accès à un service de transport en commun efficace pour accéder rapidement et facilement à des services essentiels comme le CLSC ou l’hôpital. Alors que le transport est le secteur le plus émetteur de GES au Québec, de nombreux petits déplacements en voiture pourraient facilement être évités grâce à un système de transport en commun local et interrégional efficace, explique Pascale Fortin. Cela permettrait aussi d’offrir une alternative économique pour se rendre au travail, surtout face à la montée fulgurante des prix de l’essence et du prix des autos.
Le sous-financement du transport en commun de la part des gouvernements successifs a fait en sorte que ces moyens de transport ont été de plus en plus chers et de plus en plus rares. Québec solidaire s’engage à réinvestir massivement dans le transport en commun à la hauteur de 12,7 milliards $ d’ici 2030.
« Même si nous avons une situation géographique très avantageuse au Centre-du-Québec, ça reste tout un défi de s’y rendre en transport en commun. J’ai envie de travailler à ce que notre région soit accessible pour tout le monde, pas seulement aux automobilistes », indique la candidate de Québec solidaire.
Soutenir les PME dans l’adoption de pratiques écoresponsables
Une autre force de la région, c’est qu’elle est le terreau fertile de nombreuses initiatives en développement durable. Pascale Fortin souhaite bonifier le financement de ces initiatives pour que la région devienne un leader en développement durable.
« Je souhaite bonifier les programmes d’accompagnement des PME dans l’adoption de pratiques écoresponsables. Cela permettrait non seulement aux entreprises d’être plus compétitives, mais elles pourraient aussi attirer les jeunes qui souhaitent travailler pour une organisation socialement responsable. Nous avons une force dans la région d’Arthabaska L’Érable avec les accompagnements en développement durable et en économie circulaire. Nous avons même un fonds en développement durable. Je souhaite soutenir ces initiatives pour que la région rayonne en développement durable », mentionne Pascale Fortin.
Mme Fortin
J’ai lu votre texte avec beaucoup d’intérêt. Malheureusement vous êtes victime d’un rêve utopique de la part des idéalistes et de nombreuses espèces d’experts en matière de changements non seulement climatiques mais cycliques; renseignez-vous sur l’histoire de notre planète et vous constaterez que le genre de catastrophes naturelles survenant au 21e siècle se produisait régulièrement bien avant toute activité humaine! La planète se gère elle-même et elle se transforme d’années en années; il y a des millions d’années notre habitat actuel était sous la glace et la neige; ensuite la déglaciation s’est effectuée et ce fut autour du Nord à se retrouver sous la glace; l’histoire se répète à chaque millier d’années. Cela fait maintenant 50 ans qu’on nous casse les oreilles avec les changements climatiques et toutes les mesures mis de l’avant n’ont a peu près rien donné; c’est toujours la même chose, on pollue pour dépolluer, comme un chien qui court après sa queue. Préparons-nous plutôt à amasser des fonds pour pallier aux éventuelles catastrophe et convainquons la génération future de s’assumer comme l’ont fait les générations qui nous ont précédé. Il nous faut être réaliste et arrêter de se faire emplir par ces soi-disant « sauveurs de la planète » qui se spécialisent en alarmisme.! Voila ce que j’en pense. Merci de respecter mon opinion
Alain
Alain,j’ai lu votre texte avec beaucoup d’intérêt. Malheureusement vous êtes victime d’un rêve utopique de la part des politiciens de droite et de nombreuses compagnies pétrolières; renseignez-vous sur l’histoire de notre planète et vous constaterez que ce genre de catastrophe naturelles survenant depuis la révolution industrielle se produisait régulièrement bien avant toute activité humaine et que bien d’autres espèces ont disparu à cause d’elle. Cela fait maintenant 40 ans qu’on nous informe des conséquences des activités humaines sur les changements climatiques et peu les mesures promises ont été mise de l’avant. Préparons-nous aux catastrophes et convainquons la génération future de se préparer et de pardonner les générations qui nous ont précédé. Il nous faut être réaliste et arrêter de se faire emplir par ces climatosceptiques qui se spécialisent en désinformation! Voila ce que j’en pense. Merci de respecter mon opinion
Bonjour Ezeckiel
Je respecte beaucoup votre opinion et votre réponse rejoint mon opinion sur plusieurs sujets. Toutefois je persiste à croire que notre planète se fout de toutes nos actions pour fin de changements face à cet épineux problème ;Dame nature étant ce qu’elle est elle n’en fini plus de nous surprendre par ses divers comportements et c’est pourquoi l’humain a très peu d’impact sur ses réactions. Je ne suis pas un climatosceptique et si tous les pays de la planète y verraient ce serait sans doute moins pire et selon moi c’est un rêve utopique de penser que de puissants pays pollueur comme la Chine, la Russie et l’Inde se face du souci pour l’environnement; Et sans leur participation réelle tout autre pays sera continuellement polluer. Voilà.
Alain