Programme de surveillance des élèves handicapés : deux projets retenus dans la région

Une aide financière de 86 104 $ a été accordée pour soutenir la mise en œuvre de deux projets dans le cadre du Programme de soutien financier aux services de surveillance d’élèves handicapés âgés de 12 à 21 ans dans les MRC d’Arthabaska et de L’Érable. Le député d’Arthabaska et whip en chef du gouvernement, Eric Lefebvre, a fait cette annonce aujourd’hui au nom du ministre de la Famille, Mathieu Lacombe.

Ainsi, dans les différentes régions du Québec, une aide financière de 1 503 684 $ permettra de soutenir au total 40 organismes. L’objectif du programme est d’offrir, dans un cadre sécuritaire et adapté, des services de surveillance s’adressant aux élèves handicapés qui fréquentent l’école secondaire et qui ne peuvent demeurer seuls à la maison.

Ce programme s’inscrit dans les orientations du ministère de la Famille concernant la conciliation famille-travail. Il vise à apporter une réponse adaptée aux besoins diversifiés des familles, dont celles comptant un enfant handicapé, ainsi qu’à offrir aux parents des conditions favorables à l’occupation d’un emploi ou à la poursuite de leurs études.

Voici la liste des projets retenus dans la région :

ORGANISME AIDE FINANCIÈRE
Amis-Temps des Bois-Francs 58 000 $
Maison du CLDI de l’Érable 28 104 $
Total : 86 104 $

«L’annonce des projets retenus dans le cadre du Programme de soutien financier aux services de surveillance d’élèves handicapés est une excellente nouvelle pour les familles d’Arthabaska et de L’Érable. Je suis heureux de savoir que ces organismes permettront aux parents de jongler plus aisément avec leurs responsabilités familiales», a souligné Eric Lefebvre, député d’Arthabaska et whip en chef du gouvernement

«Le gouvernement est à l’écoute des familles du Québec. La conciliation famille-travail représente un défi quotidien qui est encore plus grand pour les parents d’élèves vivant avec un handicap. Grâce à l’aide proposée aujourd’hui, de nombreux organismes pourront apporter un appui aux parents tout en permettant aux enfants de 12 à 21 ans de s’accomplir dans un milieu bienveillant et sécuritaire», a ajouté Mathieu Lacombe, ministre de la Famille.