Michaël Vincent lance son single Je serai là

L’homme d’affaires qui vient d’amorcer sa carrière dans le domaine de la musique hip-hop, Michaël Vincent, a officiellement lancé son nouveau single et son deuxième vidéoclip, intitulés Je serai là, au restaurant Le Shaker de Victoriaville.

Réalisée en collaboration avec Striger et Simon Sillz, la pièce Je serai là constitue un véritable hymne à la vie. Chanson par excellence de l’été et du beau temps, elle encourage les gens à oublier leurs soucis et à profiter du temps qui passe. L’auditeur est invité à en profiter, à vivre sa vie au maximum, car il a des proches dans son entourage qui seront toujours là pour lui.

«Cette chanson-là vient en quelque sorte mettre un baume sur les plaies vives dans le cœur d’un peu tout le monde. Ce n’est pas évident ce par quoi on est passé au printemps et cet été, les gens ont mis leur vie sur pause, ils ont été forcés de s’éloigner de leurs proches. On espère que ce rythme entraînant et ces paroles encourageantes apporteront un peu de bonheur», explique celui qui porte le nom d’artiste MCV.

Produit par la firme victoriavilloise Rouge Tomate, le vidéoclip met en scène Michaël Vincent, Striger et quatre jeunes femmes, tous vêtus de blanc, qui font la fête au Complexe Sacré-Cœur. Il s’agit d’une œuvre entièrement conçue à Victoriaville.

«Il y a beaucoup de talent ici, on n’a pas à être gêné. On se compare avantageusement à ce qui se fait ailleurs. Lors du tournage, j’étais impressionné par le professionnalisme de tout le monde, je m’étais dit que ce serait digne d’un film et je ne me suis pas trompé, le résultat est tout simplement parfait», ajoute l’artiste.

Il s’agit du deuxième single de la jeune carrière de Michaël Vincent, lui qui avait lancé Évolution en tout début de confinement. MCV travaille actuellement sur une poignée d’autres chansons, dont certaines où il se contentera de jouer le rôle d’interprète, contrairement aux deux premières, qu’il a entièrement composées.

Lors de la soirée au Shaker, il a interprété pour la toute première fois Si tu m’entends et Si tu savais, deux titres à sortir un peu plus tard. La première raconte la période au cours de laquelle Michaël Vincent vivait l’enfer de la drogue dans la région montréalaise. Elle décrit les sentiments d’un adolescent ayant le mal de vivre. La deuxième est un message pour son père qui n’a pas été présent alors qu’il en avait besoin.

«Par mon art, je veux apporter du positif, faire évoluer les gens, les divertir, mais je veux également les toucher, leur faire vivre des émotions. Je veux leur raconter mon existence, qu’ils voient à travers mes yeux pendant un moment», conclut-il.