Le Mémo-mamo : un classique de Noël pour la santé des femmes!

Pour Noël, la Société canadienne du cancer et Lise Dion, porte-parole de la campagne du Mémo-mamo, invitent une fois de plus les Québécoises à se procurer le Mémo-mamo, un outil éducatif qui illustre l’efficacité de la mammographie.

« Les femmes âgées de 50 à 69 ans sont invitées à passer une mammographie à tous les deux ans, déclare Anne-Marie Lefebvre, ambassadrice régionale du Centre-du–Québec de la campagne Mémo-mamo de la SCC. Le Mémo-mamo est non seulement joli, mais il démontre clairement que la mammographie est la méthode la plus fiable pour détecter un cancer du sein, le cancer le plus répandu chez les femmes. J’invite toutes les femmes de la région du Centre-du-Québec à participer au Programme québécois de dépistage du cancer du sein, un geste qui pourrait leur sauver la vie! »

Le Mémo-mamo est un porte-clés décoratif composé de deux perles de tailles différentes. La grosse perle blanche, de la taille d’une pièce de 25 cents, représente la bosse généralement détectée par une femme elle-même. La petite perle rose représente le type de lésion pouvant être décelée à l’aide de mammographies régulières, et qui peut être aussi petite qu’une tête d’épingle.

Un cadeau pour les fêtes qui peut sauver des vies!

Du 17 novembre  jusqu’au 9 janvier,  les pharmacies Jean Coutu du Québec vendront le Mémo-mamo de la SCC au coût de 5 $ chacun au comptoir des ordonnances. Tout l’argent recueilli sera remis à la SCC. Il sera aussi offert au bureau régional du Centre-du-Québec de la SCC au 209, Dorion à Drummondville.

« Une mammographie est une faible dose de rayons X administrée dans la région des seins. La radiographie permet de déceler des changements qui sont trop petits pour être palpés par une femme et même un médecin. Lorsque le cancer du sein est diagnostiqué et traité dès le début, le choix des traitements est plus grand, ces derniers sont moins agressifs et les chances de guérison sont meilleures. Ils peuvent même atteindre près de 100 pour cent dans certains cas », souligne Dominique Claveau, directrice adjointe, Prévention du cancer et promotion de la santé, SCC – Division du Québec.