Ouellet Portes et Fenêtres solidifie sa position

ÉCONOMIE. Ouellet Portes et Fenêtres de Notre-Dame-de-Lourdes vient d’investir quelque 140 000 $ dans la relocalisation de ses bureaux des ventes et administratifs et dans l’aménagement d’une toute nouvelle salle de montre dans le but de solidifier sa position dans le marché et d’accentuer son service à la clientèle.

L’entreprise, qui se spécialise dans la fabrication de portes d’acier et de fenestration en tout genre destiné principalement à une clientèle résidentielle en processus de rénovation, connaît une croissance de son chiffre d’affaires qui se situe dans les 2 millions $ cette année.

«La nouvelle salle de montre nous permettra bien sûr de présenter nos propres produits, mais aussi d’y ajouter des nouveautés en distribution que nous pourrons introduire dans la région», de faire savoir Noël Therrien, propriétaire de l’entreprise avec sa conjointe Martine Ouellet.

«Nous croyons aussi que l’ajout des nouveaux produits et de cette nouvelle visibilité en bordure de la route 265 nous permettra de mousser notre chiffre d’affaires qui devrait se situer à 2,3 millions $ en 2016», de souligner M. Therrien précisant qu’un nouvel emploi direct a ainsi été créé aux ventes et qu’il s’ajoutera possiblement deux autres emplois en usine suite aux retombées du projet. L’entreprise emploie actuellement une quinzaine d’employés.

Un peu d’histoire

C’est en 1971 que Paul-Émile Ouellet fonde Les Fenêtres P.E. Ouellet en compagnie de Nicole son épouse. Après plus de 30 ans de services, ces derniers ont passé le flambeau à leur fille Martine et son conjoint Noël en 2004.

Six ans plus tard, soit en 2010, Martine et Noël procédaient à un agrandissement de l’usine de fabrication de l’ordre de 4500 pieds carrés pour porter la superficie à 11 000 pieds carrés afin de répondre aux demandes d’une clientèle de plus en plus nombreuse.

Les nouveaux bureaux administratifs et des ventes ainsi que la nouvelle salle de montre sont maintenant installés dans l’ancienne résidence familiale de Martine et Noël et précédemment de Nicole et Paul-Émile, tout juste devant l’usine en bordure de la route 265.