Les organisateurs souhaitent une épreuve encore plus internationale
FORCE. Les organisateurs du Festival hommes forts Warwick souhaitent que la prochaine édition prenne une tournure encore plus internationale.
Cette année, six pays étaient représentés : le Canada, les États-Unis, la Slovaquie, l’Irlande, la Lituanie et la Lettonie. L’an prochain, les organisateurs du Festival, Yan et Jean Boissonneault, aimeraient grimper ce nombre à 12.
«On veut amener ça à un autre niveau et avoir 12 athlètes représentés par 12 pays», a indiqué Jean Boissonneault. «C’est ce qu’on vise, mais on ne sait pas si on va le réaliser», a-t-il ajouté.
Le vainqueur de l’édition 2016, Jean-François Caron, a mentionné à La Nouvelle Union qu’il n’est pas difficile de convaincre les athlètes de se pointer à Warwick.
Ne jamais s’assoir sur ses lauriers
Bien que le Festival vienne à peine de se terminer, les deux frères Boissonneault ont encore beaucoup de pain sur la planche.
«On va prendre le pouls des spectateurs et on va regarder ce qui est à améliorer et à corriger, a mentionné Yan. L’événement ne peut que continuer d’être plus spectaculaire.»
Selon ce dernier, les pierres d’atlas et le légendaire tir de camion ont toujours la cote auprès du public qui ne se lasse jamais de voir ces mastodontes usés de leur force herculéenne pour réussir ces épreuves.
«Les pierres d’atlas rappellent un peu les épreuves que pouvait faire Louis Cyr. C’est un must, a lancé Yan. Tirer un camion de 22 000 livres ce n’est quand même pas rien. C’est impressionnant à voir!»
Cette année, la brouette a effectué un retour au sein des huit épreuves tandis que la compétition de mini-pelles a été remplacée par un spectacle.
Par Alex Drouin