Le Salon des stages et de l’emploi du Cégep attire 200 personnes

Quelque 200 personnes, étudiants, travailleurs et même retraités, ont visité le deuxième Salon des stages et de l’emploi du Cégep de Victoriaville qui se tenait mercredi (7 février) de 9 h à midi au Centre des congrès Le Victorin de Victoriaville.

Ces personnes, à la recherche d’un stage ou d’un emploi, ont pu rencontrer 55 entreprises ou organismes issus de différents domaines comme l’informatique, le génie électrique, l’ébénisterie, l’architecture, l’éducation à l’enfance ou l’éducation spécialisée.

L’organisatrice de l’événement, Lise Geoffroy, a indiqué que le nombre de visiteurs était à la hausse comparativement à l’an dernier. De la petite à la grande entreprise, le choix était vaste pour les visiteurs. Qu’il s’agisse de trouver un stage crédité, une alternance travail-études, un travail d’été ou à temps partiel, ils avaient l’embarras du choix lors de ce salon, accessible à toute la population.

Une occasion privilégiée d’échange avec les employeurs et une belle façon de créer ou de bonifier son réseau de contacts, a ajouté l’organisatrice. Et pour ceux qui étaient à la recherche de personnel, c’était le moment de rencontrer directement les gens, de recueillir des CV et aussi de réaliser des entrevues au cours de la même journée.

Il y avait même sur place deux anciens étudiants du Cégep de Victoriaville qui étaient présents à titre d’employeurs cette fois. Un beau retour aux sources pour eux.

Tout avait été mis en place pour faciliter l’accès aux étudiants. Une navette en partance du Cégep et en passant par l’École nationale du meuble et de l’ébénisterie faisait l’aller-retour régulièrement pour permettre aux étudiants d’y participer. Du côté des employeurs, ils sont venus d’un peu partout à travers la province pour ce salon bien accessible et convivial, dans l’espoir de trouver des stagiaires ou employés.

« Il y a aussi l’équipe des services adaptés du Cégep qui a rencontré les entreprises afin de faire de la sensibilisation (concernant les élèves à besoins particuliers) », a noté Mme Geoffroy.

Parmi les employeurs potentiels, on a pu voir des municipalités, des usines, des services de garde, bref un large éventail disponible pour ceux qui ont pris la peine de venir y participer. « Le salon risque d’être là pour rester et d’autres programmes pourraient s’y joindre », a terminé l’organisatrice.