Incendie à Princeville : une longue nuit de travail pour les pompiers
FAITS DIVERS. L’incendie, qui a éclaté mercredi soir à l’entreprise BELLE-RIPE de la rue Jérémie-Pacaud dans le parc industriel Jacques-Baril de Princeville, a causé des dommages sommairement évalués à 200 000 $. Quant à la cause, elle demeure indéterminée pour le moment.
D’ailleurs, le directeur du Service de sécurité incendie, Christian Chartier, est de retour sur les lieux, jeudi matin, pour effectuer le travail de recherche sur les causes et circonstances du sinistre.
L’incendie a pris naissance peu après 22 h. L’alerte a été donnée vers 22 h 10. «Deux employés se trouvaient dans l’usine, mais ce sont des travailleurs de l’usine d’en face qui ont donné l’alerte en apercevant de la fumée», a indiqué le directeur Christian Chartier au www.lanouvelle.net.
Les pompiers, à leur arrivée, ont constaté la fumée et des flammes qui s’échappaient du toit. L’incendie faisait rage dans un entrepôt de ripe. «C’était une partie qui a fait l’objet d’un agrandissement récent», a précisé l’officier.
Le chef pompier, dès l’appel, a sonné une alarme générale. Dès son arrivée sur les lieux de l’intervention, il a fait appel à l’échelle aérienne des pompiers de la Ville de Plessisville. Il a aussi demandé l’entraide des pompiers de Victoriaville avec un camion autopompe. «Au total, 32 pompiers ont combattu le brasier. La situation a été maîtrisée après deux heures de travail», a souligné le directeur Chartier.
Les sapeurs ont eu recours aussi à une pelle mécanique. «On l’a utilisée pour démancher certaines parties à l’intérieur pour faciliter le travail d’extinction», a-t-il précisé.
L’intervention des pompiers a pris fin vers 6 h.
L’entreprise Belle-Ripe est un producteur de ripe de bois pour litière d’animaux. Elle a vu le jour en octobre 2011, apprend-on sur son site Internet.