Un deuxième roman pour la Princevilloise Kim Godbout  

La Princevilloise Kim Godbout, qui nous a plongé dans l’univers chaleureux et coloré d’un petit village de campagne avec le premier tome de la saga La meute de St-Edmond intitulé « Pour le Meilleur », nous fait découvrir, une fois de plus, la vraie nature de l’humain à travers ses personnages riches et attachants dans le second tome de cette saga intitulée « Et pour le pire » dont l’action se situe au milieu du 20e siècle.

« Nous traversons tous des tempêtes, au courant de notre vie, qui nous changent malgré nous. Elles nous obligent à nous adapter pour survivre, comme une chenille qu’on condamnerait à faire pousser ses ailes trop tôt. Cette pression peut venir de n’importe où. De notre famille, de nos amis ou bien d’un entourage qui avait autrefois toute notre confiance », souligne-t-elle dans son avant-propos.

Dans ce deuxième roman, qui traite de la trahison et du mensonge, les lecteurs découvriront comment leurs personnages préférés traverseront la pire tempête qu’aura connue le village de St-Edmond et de quelle façon ils s’adapteront, comme vous, pour la traverser… parce qu’une meute restera toujours unie, dans les meilleurs moments… mais aussi dans les pires!

Dans le premier tome, Denise et son fils fuient la grande ville de Québec pour se réfugier dans le petit village de St-Edmond. Dans ce deuxième tome, le pire cauchemar de Denise prend forme lorsque son mari violent les retrouve à la campagne. Joe « Bras de fer » ne sera pas le seul à créer des soucis aux habitants de St-Edmond, car la belle et capricieuse Nicole viendra elle aussi bouleverser la vie bien tranquille de son frère Léon, l’épicier du village. Enfin, le goût de Nickie pour les hommes mariés viendra-t-il à bout des liens forts qui unissent maintenant les Vaillancourt ? Réussira-t-elle, une fois de plus à faire chanter son frère pour garder le silence sur leur passé trouble ?

 

Une passion

 

Attentive aux méandres de l’existence, Kim Godbout s’est découvert une passion pour la littérature à l’âge adulte. Le confinement lui a donné l’occasion de se mettre à l’écriture. La femme de 43 ans est une adepte de romances québécoises et de romans feel-good. Elle occupe un emploi de technicienne en laboratoire à la pharmacie Familiprix. Kim a également passé quelques années à Victoriaville où elle a fait son école primaire avant de revenir à Princeville.

La Princevilloise a vendu 250 copies de son premier roman lancé en avril 2022 et en a fait imprimer tout autant pour ce deuxième tome qui comprend tout près de 400 pages. Celui-ci est disponible à la pharmacie Familiprix à Princeville, chez Vrac de Choix à Plessisville, aux Bureaupro Citation de Victoriaville et Drummondville ainsi qu’à la Brûlerie des Cantons à Warwick.

« Ce deuxième roman a été plus facile à écrire que le premier parce que j’avais déjà en tête son dénouement. Ça m’a pris sept mois à l’écrire », laisse savoir celle qui a toujours la piqûre de l’écriture et qui a deux autres projets sur la table. « Je suis à travailler sur un roman feel-good qui portera sur la simplicité et sur une histoire d’enquête dont la trame se déroulera dans le village de Stanfold (ancien nom de Princeville) », conclut-elle.