Séance de signature pour Odile Plonquet

Afin de faire rayonner le premier tome d’une série à venir, proposée en autoédition et qui s’intitule «Le miroir des temps», la longueuilloise Odile Plonquet sera à Victoriaville le 9 décembre, entre 14 h et 16 h pour une séance de signature chez Buropro Citation.

À la suite d’une fracture au bras droit, Odile Plonquet a commencé à écrire des histoires dès l’âge de douze ans pour s’entraîner à écrire de la main gauche. Perdus dans le tourbillon de la vie, ses écrits de jeunesse ont éveillé une passion, celle de l’écriture. Diplômée d’universités française et québécoises, elle a œuvré durant sa carrière en éducation spécialisée, en formation professionnelle et en enseignement. Inspirée par un texte sur la naissance de l’écriture en Mésopotamie, elle a écumé musées et centres de documentation. Au fil de ses lectures, une voix, celle de son héroïne, Enménara, s’est fait entendre en pays d’Akkad et de Sumer. Une autre, tout aussi forte, celle de Narha dans l’Irak d’aujourd’hui lui faisant écho.  

Tome 1 : La rencontre de deux mondes

L’explosion d’une bombe en Irak, en janvier 1991, fait resurgir un passé enseveli sous les sables depuis 4 000 ans. Deux enfants, Narha et Samir, découvrent des centaines de tablettes gravées de signes cunéiformes. En ces temps de guerre et de chaos, confrontés à la survie de leur communauté, les aînés du village décident de vendre les objets. Un vieil antiquaire syrien va saisir cette manne favorisant un commerce périlleux entre l’Irak et la Syrie. Sa vie et celles des habitants du village vont être bouleversées à jamais par ce trésor jailli de la terre. 

En 2334 av. J.-C., une civilisation apparaît dans le  » Croissant fertile  » qu’est la Mésopotamie. De conquête en bataille, de victoire en triomphe, Sargon d’Akkad s’empare de Sumer et fusionne les Cités-États pour établir sa royauté. Quelques guerres vont faire du royaume, un empire et d’un usurpateur, un roi. Au jour de son intronisation, dans la cité de Nippur, Ishana donne naissance à une fille nommée Enménara par le Roi. La vie et la mort s’entremêlent entre ces deux mondes où  » Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme « .