Plusieurs raisons de célébrer pour Les Carnets de Dame Plume
Ils étaient récemment une centaine de personnes réunies au Complexe hôtelier Du Pré à Princeville La raison? Ils ont accepté l’invitation de la maison d’édition des Carnets de Dame Plume qui avait plusieurs raisons de fêter.
Les éditeurs Ghislaine Boissonneault et Réal Dubois tenaient à souligner leur 35e anniversaire de mariage en plus de l’anniversaire de naissance de Réal. Ils voulaient également célébrer les 12 années d’existence de leur maison d’édition.
Et le public a eu droit à une surprise de leur part alors qu’il a également assisté au lancement du petit dernier des Carnets de Dame Plume, Que la joie soit avec vous, écrit par le couple.
«C’est le travail d’une vie», a fait savoir Mme Boissonneault. «C’est notre cheminement de vie et c’est un petit guide pour aider les personnes qui ont besoin d’avoir des idées pour retrouver la joie ou aller la chercher», a renchéri son mari.
Avec ce livre, les Duboissono – c’est leur nom d’écriture – espèrent donner des conférences sur la joie, puisque selon eux, il en manque dans notre société actuelle.
250 rêves réalisés
Comme elle le souligne, Mme Boissonneault a toujours souhaité voir son nom sur la page couverture d’un livre et, en 2002, elle a publié <@Ri>1/4 de livre de poésie sweet and sour<@$p>. C’est alors qu’elle a réalisé qu’elle voulait aider les personnes à concrétiser leurs rêves littéraires.
Deux ans plus tard, Les Carnets de Dame Plume voyaient le jour et aujourd’hui la maison d’édition compte 250 livres. «C’est un testament amoureux et c’est une belle façon de laisser une trace», ont-ils expliqué.
Pour eux, il est impossible de nommer un coup de cœur en particulier depuis que la maison d’édition a vu le jour le 12 septembre 2004. «Chaque livre à son histoire et chacun est un coup de coeur parce qu’on entre dans l’univers d’une personne», a précisé M. Dubois qui n’a pas comptabilisé les livres vendus depuis la création de la maison d’édition. «On ne fait pas la distribution, c’est l’auteur qui s’en occupe. On est là pour réaliser le rêve des auteurs.»
En revanche, ils sont très heureux que leur maison d’édition soit libre et indépendante. «On ne dépend pas des mamelles de l’État», était fière de dire la femme qui a également souligné que les livres publiés par les grand-mères pour leurs petits-enfants étaient des bouquins dont ils étaient fiers. «C’est un très beau cadeau de la part de la grand-mère qui écrit une histoire.»
Le couple ne redoute nullement la venue des livres numériques qui pourraient un jour remplacer ceux que l’on tient dans nos mains. «L’enfant a besoin d’avoir le livre entre ses mains et de tourner les pages», a mentionné Ghislaine Boissonneault en terminant.