Olivier Lavertu espère connaître l’amour dans le pré
TÉLÉVISION. Originaire de Warwick, l’agriculteur Olivier Lavertu souhaite être parmi les candidats officiels en vue de la prochaine saison de la téléréalité L’Amour est dans le pré qui sera diffusée à l’hiver 2017.
Ils sont huit candidats et cinq d’entre eux seront officiellement de la cinquième saison. C’est en septembre que l’homme de 23 ans saura s’il aura récolté suffisamment d’inscriptions pour figurer parmi les cinq finalistes.
Dans la vidéo le présentant et avec laquelle il espère attirer l’attention du public, il a confié qu’il a davantage misé sur son côté posé.
«Ça montre que je suis très sérieux dans mes démarches, mais dans la vie, je suis funny et j’aime déconner», a fait savoir l’agriculteur, qui a répondu aux questions du www.lanouvelle.net pendant qu’il conduisait sa batteuse.
«Je veux vraiment une fille qui travaille et s’implique avec moi. J’ai eu plusieurs copines qui n’étaient pas dans le monde agricole et c’est bien difficile. Elles ne comprenaient pas pourquoi je travaillais, entre autres, un vendredi soir dans ma batteuse», a-t-il souligné sans aucune malice.
S’inscrire en secret
Lorsqu’il s’est inscrit à L’Amour est dans le pré, le Warwickois est demeuré discret. Très discret. Seulement quelques proches le savaient. «C’est une démarche personnelle et je ne voulais pas le crier sur tous les toits», a-t-il expliqué.
En mai, il a rempli le formulaire qui se trouvait en ligne. Ensuite, il s’est déplacé à Québec pour rencontrer des membres de la production. Lorsqu’ils lui ont demandé pourquoi il voulait être candidat à L’Amour est dans le pré, il a rétorqué «qu’il était temps que je me place».
Cette réponse a semblé leur plaire puis qu’une partie de l’équipe de production s’est déplacée à son domicile pour explorer les lieux et quelques jours plus tard, elle revenait filmer la vidéo le présentant.
Ce n’est qu’une fois la vidéo en ligne le 4 août que la plupart de son entourage a découvert qu’il s’était inscrit et, qu’en plus, il figurait parmi les finalistes.
Le mauvais côté de la téléréalité
Olivier est bien conscient qu’avec la téléréalité vient parfois le côté négatif, c’est-à-dire les offensantes et blessantes critiques du public.
«C’est le pire!, a-t-il lancé. Il y a moyen de faire quelque chose de très bien et certains s’en sont très bien sortis.»