«Une histoire à se raconter…» et à réimprimer?

VICTORIAVILLE. Ayant écoulé les 650 exemplaires de sa publication Victoriaville, une histoire à se raconter…, la Société d’histoire et de généalogie de Victoriaville réfléchit à la possibilité d’une réimpression. Cela en vaut-il le coup et le coût?

Elle ne souhaite pas que seule l’histoire le lui dise, espérant plutôt s’assurer qu’un deuxième lot s’attire déjà des acheteurs.

Ainsi, c’est le nombre de réservations qui dictera la décision de la Société de commander ou non une réimpression de son volume.

Lancé en mars dernier, l’ouvrage de 470 pages, abondamment illustré, retrace les 150 ans de Victoriaville, partant de sa fondation en 1861.

Le volume se divise en onze chapitres campant Victoriaville sous différentes facettes, religieuse, industrielle, commerciale, sportive, etc. On s’y rappelle l’histoire des Auger et fils, du marché de Gédéon Grenier, de la Victoriaville Furnitures, de la Rubin Bros., de la Utex Corporation, du Grand Union, de l’hôtel Central, pour se donner quelques exemples.

Une quinzaine de personnes ont mis quatre ans à rédiger cet ouvrage. La Société se dit fière d’avoir contribué à l’histoire victoriavilloise comme l’avaient fait, auparavant, les Alcide Fleury, Claude Raymond, Denis Saint-Pierre et d’autres.

Évidemment, le prix du volume d’une deuxième édition sera tributaire du nombre de réservations. La Société s’engage d’ailleurs à informer les personnes ayant réservé du prix qui leur sera demandé… Elle ne commanderait pas une réédition si le prix unitaire était trop élevé.

Il faudrait réserver son exemplaire avant le 24 octobre. On peut le faire par téléphone au 819 350-6958 ou encore en envoyant un courriel à shg.victoriaville@videotron.ca.