Un autre appui de taille pour Guy Morin
Le 10 novembre dernier, le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu annonçait son appui au candidat du Parti conservateur du Québec à l’élection partielle dans le comté d’Arthabaska. Cette semaine, c’est Claude Roy, l’ancien député adéquiste de la circonscription de Montmagny-L’Islet, qui emboîte le pas.
Celui qui avait assumé en 2007 le rôle de critique en matière de faune et de parcs nationaux pointe du doigt l’élection de Trump et, référant à l’élection partielle du 5 décembre prochain, nous met en garde de «ne pas retomber dans l’envie de voter comme dans l’ancien temps en votant du bon bord. Un député à l’Assemblé nationale a autant de pouvoir dans l’opposition que dans le parti au pouvoir s’il sait se faire respecter».
Or savoir se faire respecter, c’est exactement ce qui a permis à Guy Morin de se faire connaître. Plusieurs se rappellent du passage du «barbu de Tous contre un registre québécois des armes à feu» à l’émission Tout le monde en parle. M. Morin y avait défendu son point avec calme et aplomb, alors que tous les intervenants du plateau de télévision semblaient farouchement en faveur d’un tel registre.
L’ex-adéquiste estime que les libéraux sont corrompus et que la nouvelle «ferveur fédéraliste» de la CAQ ne vise qu’à charmer leur électorat.
«Guy Morin et son chef Adrien Pouliot sont l’option qu’il faut envisager afin de prouver que la venue d’un vraie parti fédéraliste est encore et de plus en plus vivant. Des politiques de droite rationnelles, des idées novatrices, la lucidité d’un parti qui cherche résolument à vouloir changer les choses demeure l’option sensée lors de cette élection.
Vous qui voulez donner un vote pour le changement, optez pour Guy Morin et le Parti conservateur du Québec. Vous mettrez ainsi l’épaule à la roue pour des politiques plus défendables, des actions plus concrètes et une équipe qui ne demande qu’à se développer. La politique est une question de logique, ne votons plus en espérant des cadeaux, car nos impôts nous rappellent ce qu’ils nous en coûtent que de croire aux miracles. Ne perdez pas votre vote, illustrez-vous et soyez fier du geste posé dans l’espoir que nous pourrons enfin croire à nouveau en la classe politique», conclut-il sur son blogue du Prince Arthur Herald.