Sophie Thibault partage sa passion pour la photographie animalière

Ce qui a retenu l’attention de cette sixième édition de Victoriaville et ses oies, c’est la présence de la chef d’antenne de TVA, Sophie Thibault.

«De l’avoir avec nous fait monter de beaucoup notre événement», a dit sans hésitation la présidente et fondatrice, Hélène Charland, à propos de celle qui est venue partager sa passion de la photographie animale.

Durant un peu plus d’une heure, la chef d’antenne s’est adressée à la centaine de personnes venue l’entendre.

«J’avais un texte, mais je l’ai complètement oublié, lance-t-elle avec un large sourire. C’était a capella et j’ai suivi mes photos [que je présentais au public].» Demandant l’aide de l’auditoire quelques fois pour bien identifier les oiseaux qui se trouvaient sur ses photos, Mme Thibault a savouré chaque minute de sa conférence.

«J’adore ça et ça me fait vibrer. Je suis folle de photographie. De partager cette passion avec des photographes et des personnes qui aiment les oiseaux, je ne peux pas demander mieux», s’est-elle exclamée.

Ce n’était pas la première fois qu’elle partageait sa passion pour les oiseaux et il y a également une galerie à Charlevoix et une autre à Québec qui exposent déjà ses photos. D’ailleurs, l’un des prix remis par Victoriaville et ses oies était l’une de ses photographies qu’elle a autographiée.

Pure coïncidence

Passionnée des oiseaux, Mme Thibault avait entendu parler de Victoriaville et ses oies sans toutefois avoir pu y assister avant l’année dernière. Lorsqu’une personne lui a fait part que la chef d’antenne se trouvait parmi le public, la présidente s’est précipitée vers elle.

«Elle avait beaucoup d’engagements, mais elle nous a donné un peu de son temps pour venir avec nous aujourd’hui», s’est réjouie Mme Charland. Quant à Sophie Thibault, elle assure qu’elle sera de retour à Victoriaville l’an prochain. «Je ne vais pas manquer ça et je serai de retour chaque année», assure-t-elle en espérant que, cette fois, le beau temps sera au rendez-vous.

En effet, lors de la journée de sa présentation, les oies étaient peu nombreuses en raison du froid et du mauvais temps. «Lorsqu’il y a beaucoup de pluie [comme aujourd’hui], les oies peuvent rester dans les champs, car elles ont de quoi boire et se nourrir.», a fait savoir Mme Charland.