Le cégep de Victoriaville parmi les meilleurs pour ses revenus de recherche

Le cégep de Victoriaville accède au 22e rang canadien et au 9e rang québécois, pour l’année fiscale 2015, avec des revenus de recherche de 3,3 millions $ selon le Research Infosource Inc. qui a publié la semaine dernière sa liste annuelle du « Canada Top 50 Research Colleges ». Les revenus du Cégep sont en hausse de 3,2% par rapport à l’année fiscale 2014.

Les trois centres collégiaux de transfert de technologie (CCTT) du Cégep soit le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique (CETAB +), le Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA) ainsi que le Centre d’innovation en meuble et ébénisterie, INOVEM, sont les catalyseurs du développement de la recherche au collège et contribuent au rayonnement de ce dernier.  Les retombées des succès scientifiques ont permis, au fil des années, d’attirer de nouveaux étudiants, clients et projets qui assurent la pérennité du Cégep et de le positionner comme un acteur incontournable dans sa ville, sa région, voire à l’échelle nationale ou internationale.  

Avec ses trois CCTT, le Cégep de Victoriaville est parmi les collèges les mieux positionnés pour la recherche appliquée, notamment dans le domaine du meuble et du bois ouvré et dans les créneaux de l’agriculture biologique et de l’innovation sociale en agriculture.  « En effet, nous sommes parmi un groupe restreint de cégeps à disposer de trois centres collégiaux de transfert de technologie et leur expertise vient ajouter beaucoup de valeur au développement de notre région », a souligné monsieur Patrick Bérubé, directeur de la formation continue et de la recherche au Cégep de Victoriaville. « Cet honneur revient aux chercheurs et au personnel de chacun des Centres qui s’efforcent de trouver des solutions concrètes notamment dans le domaine du développement durable » a-t-il tenu à ajouter.

Le Cégep de Victoriaville a le vent dans les voiles et cette annonce vient renforcer le dynamisme qu’il connaît tant dans le secteur de l’agriculture que dans celui du meuble et de l’ébénisterie.