Câlins gratuits dimanche prochain
Dans le cadre de la Journée internationale du câlin, une activité est organisée à la Vélogare de Victoriaville le 21 janvier.
Comme l’année dernière, les gens sont invités, dès 13 h cette fois, à venir participer à la journée en recevant un câlin de la part d’un des membres de la Brigade du bonheur de la paix et de l’amour. Ceux-ci porteront, pour bien se faire reconnaître, un t-shirt à l’effigie du groupe formé de bénévoles.
L’organisatrice de l’événement à Victoriaville, Marie-Jeanne Fréchette, a expliqué que l’activité tenue l’an dernier avait connu du succès. Bien qu’il lui soit difficile de dénombrer combien de personnes sont passées pour recevoir une dose d’amour en 2023, elle estime qu’au moins une trentaine de gens se sont arrêtés à 11 h 11 pour faire un câlin à la personne à côté d’elle (comme ce devait être le cas dans tous les autres rassemblements en province). « Cette année, on retente l’expérience, mais à 13 h 30 », a-t-elle expliqué en entretien téléphonique. « À ce moment, on demande à tous, peu importe ce qu’ils sont en train de faire, d’arrêter tout et d’offrir un câlin, du soutien ou de l’amour à quelqu’un », a-t-elle exprimé.
Ceux qui passeront à la Vélogare ne seront pas obligés de recevoir un câlin, même si c’est l’objectif de la rencontre. « Ils peuvent simplement venir jaser », indique l’organisatrice.
Celle-ci veut faire de ce rassemblement un bon moment pour donner un « boost » de début d’année, après 2023 qui a été assez rocambolesque, comme elle le mentionne si bien. « Pour bien partir l’année », ajoute-t-elle.
Marie-Jeanne, qui habite Victoriaville depuis cinq ans maintenant, apprécie de plus en plus le sens de la communauté de la municipalité ainsi que la réceptivité et les belles valeurs de ses citoyens. « L’année dernière, plusieurs sont tout simplement venus nous dire merci », se souvient-elle.
Pour ce rassemblement, les quelques brigadiers qui seront sur place n’auront qu’un seul objectif : donner de l’amour à ceux qui en ont besoin. « Ce n’est pas méchant un câlin », insiste-t-elle.
Marie-Jeanne avance également avoir l’intention, au cours de l’année, d’organiser d’autres rassemblements du genre, qui font tant de bien à ceux qui y participent. « Les gens en ont besoin », croit-elle.