Tarek Henoud mise sur des solutions réalistes et concrètes

Le candidat du Parti conservateur du Québec (PCQ), Tarek Henoud, affirme avoir mené une campagne électorale très positive et axée sur les besoins de la population. Il dit avoir constaté qu’une partie des gens se reconnaît dans le discours conservateur et partage avec lui ce désir de changement et de passer à autre chose.

« Nous avons fait un grand travail de fond depuis janvier dernier en prévision de l’élection du 3 octobre. Nous avons une équipe de bénévoles et des militants vraiment engagés. Certes, nous n’avons pas les moyens financiers de certains partis ni leur accessibilité médiatique, mais nous avons toujours trouvé les moyens de contourner les obstacles pour être proche de la population et ça donne d’excellents résultats jusqu’à maintenant », a indiqué le candidat conservateur dans Arthabaska à quelques jours du vote.

« Les priorités du Parti conservateur du Québec à l’échelle nationale, qui sont la réforme du système de santé, le pouvoir d’achat, le volet économique, l’éducation et la famille ainsi que l’environnement et le transport, viennent nous toucher directement au niveau régional », affirme aussi M. Henoud.

« Tout passe par une économie forte et prospère qui va nous donner les moyens de faire les réformes nécessaires qui nous permettront de répondre aux besoins de notre population. Nous avons beaucoup de travail à faire pour nos PME qui ont beaucoup souffert au cours des deux dernières années. Nos jeunes et nos aînés ont également été fortement impactés par la pandémie. Sur le terrain, j’ai entendu des histoires qui m’ont été racontées par des membres du personnel de santé sur la détresse que nos aînés ont vécue. »

« Nous offrons des solutions réalistes et concrètes. Nous visons évidemment ne pas avoir à revivre ce qui a été vécu avec la pandémie et les mesures sanitaires qui ont fermé notre économie », d’ajouter M. Henoud. « Notre parti est également le seul qui prône le retour à l’équilibre budgétaire dans un premier mandat. Quand notre chef (Éric Duhaime) s’est lancé dans cette aventure, notre parti ne comptait que 500 membres. Il en est rendu à 62 000 membres, et ce, en très peu de temps. Ça c’est notre sondage, notre force », a-t-il conclu invitant les gens à voter le 3 octobre.