À quand la reprise du dekhockey?

Les 50 000 membres répartis dans près de 75 organisations de l’Association nord-américaine des joueurs et joueuses de hockey balle (NBHPA) et son fondateur Alex Burrows sont encore confiants qu’ils pourront jouer au hockey balle cet été en respectant les règles de sécurité sanitaire, mais la saison est encore incertaine en raison du silence du gouvernement.

«La NBHPA a élaboré un plan de déconfinement et de relance avec différentes phases pour le hockey balle et nous sommes définitivement en mode solutions! Le hockey balle, qui compte plus de 75 000 adeptes au Québec, ne figure dans aucune liste ou phase pour le retour graduel du sport au Québec», déplore Alex Burrows, fondateur de la NBHPA et président de la Tournée Alex Burrows. «J’aimerais beaucoup discuter avec la ministre Isabelle Charest de solutions et d’alternatives pour un début graduel de la saison estivale de hockey balle. Nous sommes prêts à discuter et à présenter plusieurs alternatives afin d’éviter la catastrophe financière pour des dizaines d’organisations, mais pour cela, la ministre doit nous accorder un appel et une rencontre.»

Tous ensemble pour la cause, aidons nos centres de dekhockey, sauvons notre sport!

La NBHPA a récemment créé un mouvement pour sauver les centres de hockey balle du Québec, mais aussi pour sauver le sport. Des milliers d’amateurs ont déjà embarqué dans le mouvement. Des solutions sont proposées à travers ce mouvement, notamment :

Mesures de prévention très sévères; 

Centres de hockey balle avec plusieurs lavabos et stations de désinfectant à mains;

Maximum de joueurs au banc et autres alternatives au jeu habituel afin de privilégier des joutes sans contact;

Des académies, des pratiques des locations de surface, des formules à bout de souffle avec uniquement un ou deux joueurs sur le banc pour les changements, le tout pour limiter le nombre de joueurs sur la surface de jeu et au banc et respectant la règle de distanciation physique de 2 mètres.

En proposant certaines alternatives qui respectent les normes de la santé publique, les centres de dekhockey souhaiteraient louer leurs surfaces de jeu extérieures avec des restrictions sévères ou offrir différentes activités sur leurs surfaces ce qui pourraient les aider grandement à générer des revenus dans le but de pouvoir payer leur frais fixes et ainsi rester en vie. Plusieurs organisations ont présentement de gros tracas financiers depuis le début de la pandémie et ils ont peur pour la suite si jamais la dekhockey n’obtient pas de réponse de la part du gouvernement québécois. Ce sont une dizaine voire même une vingtaine d’années de travail pour certains qui pourrait s’écrouler en un seul été.

À court terme, on planifie offrir uniquement l’accès aux surfaces, sans vestiaire inclus pour les joueurs. On parle aussi d’un service de cantine ou de bar spécialement adapté pour les circonstances, d’un maximum de 10 personnes à la fois sur les surfaces de 5000 pieds carrés, de la désinfection des lieux entre les locations/activités et plus encore.

Toutes ces précautions permettraient de sauver non seulement des dizaines d’organisations et des centaines d’emplois, mais surtout de sauver le sport.

Une équipe solide

L’équipe de la NBHPA est composée de grands leaders et de membres très influents du monde du hockey balle comme Alex Burrows, l’un des plus grands joueurs de hockey balle de l’histoire. Sa présence apporte d’ailleurs une grande crédibilité ainsi qu’une belle visibilité à l’association.

À propos du hockey balle

Pratiqué par plus de 1 500 000 joueurs et joueuses en Amérique du Nord, le hockey balle est l’un des sports les plus croissants dans le monde. Au Québec, c’est 50 000 membres donc près de 75% de la communauté de joueurs et joueuses de hockey balle qui sont membres de l’Association des joueurs de hockey balle de l’Amérique du Nord (la NBHPA), qui est derrière ce projet de relance du dekhockey au Québec.

Pour en savoir davantage, visitez le site internet :  www.NBHPA.com.