Braquage et séquestration : une audience fixée

Angel Alvarez-Martel, l’un des cinq accusés en lien avec le braquage de deux logements et la séquestration de deux dames en novembre sur la rue de l’Académie à Victoriaville, subira son enquête sur remise en liberté le 5 février.

C’est ce qui a été convenu, aujourd’hui (mardi), alors que le résident de Montréal, âgé de 20 ans, revenait en Cour du Québec.

Angel Alavarez-Martel fait face à six chefs d’accusation : complot en vue de commettre un vol qualifié,  vol qualifié avec utilisation d’une arme à feu à autorisation restreinte, deux chefs d’introduction par effraction dans une maison d’habitation et d’y avoir commis des voies de fait avec lésions et deux chefs de séquestration.

Dans cette même affaire, deux individus, Mandy Tropia et Rushawn Smith, se sont vu refuser leur remise en liberté par le juge Simon Ricard le 8 janvier. La suite des procédures, dans leur cas, a été fixée au 3 février.

Quant aux deux autres accusés, André Patrick Allen et Jean-Paul Kewa Mutombo, qui croupissent toujours en prison, leur retour devant le tribunal se fera le 6 février.

Les événements, pour lesquels les individus font l’objet de graves accusations, sont survenus dans la nuit du 26 novembre 2019 dans un duplex de la rue de l’Académie à Victoriaville. Des malfaiteurs ont fait irruption dans les logements à l’intérieur desquels deux dames ont été séquestrées.

Peu après l’appel d’urgence, des patrouilleurs, à proximité, ont pu boucler le secteur et procédé à l’arrestation de quatre hommes. Un cinquième individu avait été, pour sa part, épinglé plus tard en soirée.