Agriculture : les températures chaudes et humides des dernières semaines ont permis de rattraper une partie du retard

La Financière agricole du Québec présente le bilan de mi‑saison en assurance récolte pour la région du Centre-du-Québec. Ce bilan décrit les conditions climatiques et leurs effets sur les cultures produites dans cette région. Il fait également le point sur la survie hivernale des plantes pérennes, des ruches, de l’ensemencement et du développement des cultures annuelles, ainsi que sur le déroulement des premières récoltes.

Faits marquants en date du 9 juillet

Début hâtif de l’hiver, précipitations de neige en novembre sont restées au sol.

Faible couvert de neige du mois de décembre jumelé aux températures très froides ont donné lieu à plusieurs avis de dommages pour le gel hivernal.

Malgré la courte saison acéricole, les coulées abondantes ont permis d’atteindre des rendements dans la normale.

Mortalité hivernale des abeilles constatée. Conditions météorologiques froides et humides ont donné lieu à une reprise printanière difficile à la sortie des caveaux.

La crue printanière anormale a inondé plusieurs terres agricoles obligeant les producteurs à retarder les travaux de semis. Certains champs ne pourront être semés, car le sol est toujours gorgé d’eau.

Conditions difficiles pour les semis ont causé la levée inégale de certaines cultures.

Croissance de l’ensemble des cultures retardée par les températures froides de mai et du début juin.

Températures chaudes et humides des dernières semaines ont permis de rattraper une partie du retard.

Pour en connaître davantage sur l’état des cultures des différentes productions couvertes par le Programme d’assurance récolte : www.fadq.qc.ca/salle-de-presse/bulletins-dinformation/etat-des-cultures/2019

«L’agriculture est un secteur vital de notre économie. Lorsque des aléas climatiques se présentent, les producteurs peuvent compter sur le partenaire stratégique qu’est La Financière agricole du Québec. Ses programmes s’inscrivent à tous égards dans la volonté de maintenir la pérennité du secteur agricole. Ainsi, les producteurs peuvent compter sur des liquidités afin de poursuivre leurs opérations», a souligné André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation

«Grâce à ses différents programmes d’assurance et de protection du revenu, La Financière agricole joue un rôle de premier plan dans la gestion des risques d’une entreprise agricole. Lorsque les récoltes de nos producteurs sont confrontées aux risques inhérents du climat, le Programme d’assurance récolte intervient en limitant les pertes financières attribuables à ces événements», a ajouté Ernest Desrosiers, président-directeur général de La Financière agricole du Québec.

«Ce bilan de mi-saison dresse un portrait de l’état des cultures de nos régions. Pour les producteurs agricoles, le Programme d’assurance récolte est un outil de gestion des risques avantageux qui protège leurs productions lorsque Dame Nature n’est pas au rendez-vous», a pour sa part indiqué Sébastien Cyr, directeur régional.

La Financière agricole du Québec, c’est…         

Une relation d’affaires avec plus de 24 000 entreprises agricoles et forestières

Une offre de produits et de services de qualité en financement, assurance et protection du revenu

Des valeurs assurées s’élevant à 3,9 G $ et un portefeuille de garanties de prêts de 5,3 G $

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