Les centres de femmes, partenaires des Marathons d’écriture

Tout au long du mois de novembre, des centres de femmes organisent des Marathons d’écriture : écrire ça libère, afin de soutenir la libération des femmes qui se battent pour la défense des droits humains.

Dans les milieux de vie, partout en province, des activités publiques sont tenues par les centres de femmes pour permettre aux membres de leur communauté de transmettre des messages de solidarité et d’espoir aux femmes d’action soutenues par les Marathons d’Amnistie Internationale. La Maison des femmes des Bois-Francs, membre du regroupement des centres de femmes du Québec, participe également à ce marathon d’écriture qu’elle a intégré à l’intérieur de trois de ses activités.

Les centres de femmes, en plus d’être des espaces pour prendre soin de soi, créent des occasions pour s’entraider et agir ensemble. C’est donc conformément à leur mission et à leurs pratiques que les centres joignent les Marathons d’écriture afin d’inscrire leur solidarité avec les femmes luttant pour des sociétés plus justes et égalitaires partout dans le monde. «La création de solidarité permet aux femmes de découvrir leur force collective et leur capacité de transformation sociale », explique la présidente de L’R, Stéphanie Vallée.

«Les activités de solidarité internationale du mois de novembre qui ont lieu dans les centres de femmes s’inscrivent dans la campagne « Donne-toi de l’air » qui a pour but de faire connaître les centres de femmes, des milieux de vie pour prendre soin de soi, pour s’entraider, pour agir ensemble et pour s’outiller contre les violences faites aux femmes », explique la présidente de L’R. Après avoir lancé le guide Votre antiféminisme, nos répliques, illustrant le travail d’empowerment fait dans les centres, L’R enchaîne avec une action de solidarité internationale, une dimension tout aussi importante du travail fait dans les centres de femmes du Québec. «Donnez-vous de l’air, allez visiter le centre de femmes le plus près de chez vous!», invite Stéphanie Vallée.