Le projet de revitalisation du centre-ville de Victoriaville récolte encore des éloges

Lors du banquet d’Excellence clôturant le 31e colloque de Rues principales, la Ville de Victoriaville s’est vu remettre l’un des six prix, soit celui d’Aménagement et design, pour la cure de jeunesse du centre-ville entreprise en 2016.

«Le jury a particulièrement apprécié notre sensibilité à l’accessibilité universelle, par un aménagement sur un seul niveau, et au fait que plusieurs subventions ont été remises aux commerçants afin de justement rendre leur place d’affaires accessibles à tous. Ils ont également souligné la réussite de notre programme de rénovation de façades, qui s’est poursuivi lors de la dernière année avec la finalisation de dix nouveaux projets, et l’aménagement de passages piétonniers, en collaboration avec le milieu. Je profite de l’occasion pour féliciter le personnel de la Ville qui œuvre sur ce dossier et qui effectue un travail des plus minutieux, ainsi que tous ceux et celles qui contribuent à donner un nouveau souffle au Quartier Notre-Dame», s’exclame le maire de Victoriaville, André Bellavance.

Le prix Aménagement et design décerné par Rues principales met en relief l’importance et la nécessité de rendre visibles les changements entraînés par le processus de dynamisation et de travailler à embellir le cadre de vie des citoyens pour en faire un milieu de vie attrayant et confortable où l’identité physique, l’histoire et le patrimoine de la municipalité jouent un rôle fondamental.

«Ce projet de revitalisation du centre-ville a remporté le prix Excellence Hydro-Québec en 2017 et, cette année, par la poursuite des travaux, récolte celui d’Aménagement et design tout en obtenant à nouveau une nomination pour le prix Excellence 2018. Bien honnêtement, cet honneur rejaillit à juste titre sur l’ensemble des partenaires, commerçants et visiteurs du Quartier Notre-Dame ayant contribué à la réalisation de ce projet. Les citoyennes et citoyens peuvent être fiers de leur centre-ville et sont évidemment invités à s’y diriger et à se l’approprier», précise Jean-François Morissette, directeur du Service de la gestion du territoire.