Empreintes : la revue s’arrête au Grand Union

À la une de la troisième publication de la revue d’histoire de la Mauricie et du Centre-du-Québec, Empreintes, on retrouve une photo d’époque, de l’hôtel Grand Union. Cela explique pourquoi le lancement de la publication a eu lieu, jeudi matin, dans ces lieux qui ont été récemment rénovés.

Plusieurs historiens et amateurs d’histoire ont assisté à ce troisième lancement (le premier ayant eu lieu à Bécancour et le second à Nicolet) de la revue dont l’hôte était la Société d’histoire de Victoriaville et son président Raymond Tardif.

D’ailleurs, c’est lui qui signe l’article qui traite de la riche histoire du Grand Union, intitulé «Victoriaville préserve son cœur de 1890» et qu’on retrouve en page 40 de la publication.

La revue aborde également le thème, sous la plume de Monique T. Giroux, de la pandémie de la grippe espagnole, dont on souligne le centième anniversaire en 2018 et qui s’est déclarée à Victoriaville lors du Congrès eucharistique. François Roy, de son côté, fait connaître celui qui a été curé à Saint-Norbert-d’Arthabaska, Pierre Roy, et qui fait partie de sa famille (tout comme l’abbé Raymond Roy d’ailleurs).

Au total, le troisième numéro contient une dizaine d’articles qui permettent de faire voyager les lecteurs de La Tuque à Drummondville et c’est l’historien René Hardy, responsable de ce numéro, qui a expliqué les différents thèmes qui y sont abordés. Il a parlé d’une nouvelle rubrique qui traite d’urbanisme, d’architecture et de patrimoine bâti.

Pour ce lancement était aussi présent le président de la revue, l’ancien député péquiste et prof d’histoire, Michel Morin. L’homme originaire de Saint-Célestin a pris la parole pour expliquer comment son rôle dans cette organisation était simple et facile. «J’ai de beaux souvenirs de Victoriaville où je venais souvent en train», a-t-il rappelé. Le prochain numéro sera publié en décembre 2018 et portera sur la réforme de l’éducation.

Abonnements

L’équipe d’Empreintes encourage les gens à s’abonner à la revue et ainsi lui permettre d’avoir une longue vie. Les donateurs sont également invités à encourager la cause qui met en valeur l’histoire de la Mauricie et du Centre-du-Québec.