Commentaires : pour éviter les débordements

OPINION. Le journal La Nouvelle Union a décidé de mettre un terme à la possibilité de commenter des articles à même sa version électronique sur le site web (www.lanouvelle.net). Loin de vouloir brimer la liberté d’expression, La Nouvelle Union invite dorénavant les internautes à partager leur point de vue sur sa page Facebook, ainsi que par le biais de lettres d’opinion.

Plusieurs motifs sont à l’origine de cette décision.

Au cours des derniers mois, l’équipe de rédaction a dû à plusieurs reprises intervenir pour contrôler des débordements dans les commentaires, surtout sous des textes à saveur politique, car les débats donnaient lieu à des dérives, des insultes et des injures.

Certains ont décrié ce qu’ils ont appelé de la «censure». Or, le journal doit s’assurer que les opinions exprimées ne tournent pas à la diffamation et respectent notre «nétiquette».

Le journal ne dispose pas des ressources nécessaires pour assurer la gestion à temps plein et en continu des commentaires. D’autant qu’il était impossible d’intervenir auprès des individus à problème puisque les internautes s’expriment généralement sous le couvert de l’anonymat.

Comme nous sommes déjà très présents sur les réseaux sociaux, les internautes ont tout le loisir d’exprimer leur point de vue sous les articles que le journal publie sur sa page Facebook.

Les usagers d’Internet peuvent en tout temps consulter notre «nétiquette» (dans la section «À propos») qui stipule clairement les propos que nous nous donnons la liberté de censurer (par exemple, les attaques ou insultes personnelles, les propos jugés discriminatoires ou violents, le langage vulgaire, obscène et malveillant).

Finalement, les internautes ont également la possibilité de réagir, de commenter, de critiquer en soumettant une lettre d’opinion signée et indiquant leur localité de résidence à redaction_victo@tc.tc. Votre lettre pourrait être publiée sur Facebook (https://www.facebook.com/lanouvellenet/), sur notre site web (www.lanouvelle.net) et, occasionnellement, dans le bihebdomadaire papier.