«Je livre la marchandise», affirme Karine Vallières

DANVILLE. En cette fin de session parlementaire, Karine Vallières est fière du bilan qu’elle dépose : les dossiers avancent, de belles réalisations ont été accomplies. «Je suis fière de faire partie du gouvernement du redressement et de la relance. Je travaille de concert avec tous les milieux: municipal, entrepreneurial, agricole, communautaire, etc.

Les dossiers cheminent bien, je prends le temps de rencontrer et d’écouter les gens. Personne ne pourra dire que je ne fais pas mon travail, croyez-moi!», déclare Karine, résolument fière de son évolution dans son rôle.

Bilan dans le comté

C’est en rappelant le symbole de ses engagements électoraux qu’elle illustre son bilan : un triangle, avec le citoyen au centre et les sommets représentés par une économie dynamisée, une qualité de vie améliorée, et ce, dans le souci du développement durable. C’est en respectant ce modèle que, tous les jours, la députée pousse ses dossiers.

Parmi les dossiers travaillés, notons celui du Fonds de diversification économique (FDE) de la MRC des Sources. Des annonces majeures ont été faites, pour un total 2 449 700 $ d’aide gouvernementale, permettant la création éventuelle de 48 emplois et la consolidation de 70 autres.

Celle qui peut désormais s’impliquer activement auprès de la Table du Fonds de diversification économique est bien consciente que le milieu voudrait que tout aille plus vite, mais elle est fière du chemin parcouru par les entreprises locales, entre autres, dans la consolidation, l’optimisation des emplois et des procédés ainsi que dans la recherche de nouveaux projets.

Elle vise toujours à apporter plus de souplesse au fonds et à permettre à son milieu d’avoir plus d’emprise locale sur sa gestion. Comme réalisation, la députée a aussi aidé concrètement la Ville d’Asbestos à amoindrir l’effet de la perte de la taxe foncière dû au démantèlement progressif des installations de la Mine Jeffrey.

Par le biais du programme de Soutien à l’action bénévole (SAB), elle a aussi pu appuyer plusieurs organismes et projets pour un montant de 25 725$, dont des événements touristiques (Festivals, Symposium, etc.), des parcs-écoles, des activités sociales et communautaires.

MRC du Val-Saint-François

Dans le Val-Saint-François, c’est l’agrandissement chez Baultar et la venue d’une clinique médicale à Windsor qui ont retenu beaucoup l’attention. Par contre, on peut aussi noter la contribution de la députée pour les nouvelles installations de l’école Jardin-des-Lacs à Saint-Denis-de-Brompton, les compensations aux sinistrés des inondations, son soutien à l’Opération Verre Vert quant à la consigne des bouteilles en verre, etc.

Avec le SAB, elle a aussi investi 28 525 $ pour, entre autres, soutenir les Centres d’action bénévole de Richmond, de Valcourt et de Windsor, ainsi que la construction de l’église Saint-Philippe. Ce montant est d’autant plus précieux qu’il sert souvent de levier afin d’inciter d’autres acteurs du milieu à être présents et généreux.

Rock-Forest-Saint-Elie-Deauville

Dans la portion sherbrookoise du comté de Richmond, soit dans l’arrondissement Rock-Forest-Saint-Elie-Deauville, l’action de

la députée a aussi fait son oeuvre. Outre les dossiers travaillés conjointement avec les comtés de Sherbrooke et de Saint-

François (Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE) pour la prolongation du boulevard Portland, l’étalement du changement tarifaire pour Hydro-Sherbrooke, prolongement de l’autoroute 410), s’ajoutera la construction de deux nouvelles écoles dans l’arrondissement.

La députée participe aussi toujours fièrement au financement des projets de revitalisation des parcs-écoles, dont celui de La Maisonnée. Elle est aussi partenaire de plusieurs événements tenus par le milieu sociocommunautaire par le biais de son programme de Soutien à l’action bénévole.

C’est ainsi que les citoyens de l’arrondissement ont pu profiter des 23 245 $ qui ont été investis dans ce secteur.

Sur les routes et au bureau de comté

Pour l’ensemble de la circonscription de Richmond, notons aussi les investissements de près de 400 000 $ directement dans la voirie locale, en plus d’interventions effectuées par la députée de concert avec les élus pour aider à la réfection d’autres portions de routes dont, par exemple, la route 220 dans le secteur Saint-Elie de l’arrondissement Rock-Forest-Saint-Elie-Deauville, le pont Craig à Danville, etc.

Parlant route, n’oublions pas la TECQ de 8 397 440 M$ pour la MRC des Sources, de 9 765 109 $ pour le Val-Saint-François et de 46 M $ pour Sherbrooke.

Qu’est-ce qui se passe d’autres dans le bureau d’une députée? De l’aide aux entreprises pour les diriger au bon endroit, mais aussi pour intervenir concrètement et solutionner des situations problématiques. Ça été le cas, entre autres, pour une vingtaine d’entreprises où l’intervention de la députée a permis un dénouement heureux.

Que dire de son travail aussi dans le dossier du projet CIBLE de l’UPA Estrie, qui aura permis d’obtenir la poursuite du projet Créateurs de Saveurs, maintenant bien connu des consommateurs pour les produits locaux de l’Estrie. «Mon travail, c’est aussi d’accepter des présidences d’honneur, de souligner les bons coups de chez nous à l’Assemblée nationale, ce sont des visites d’organismes, des participations dans les

activités, c’est recevoir des gens au bureau et de les aider avec leur dossier.

En moyenne, mon personnel répond à une vingtaine d’individus par jour, 250 dossiers de citoyens ont été traités dans mon bureau depuis août. Aussi, je participe à environ 8 activités par fin de semaine et j’ai aidé financièrement près de 200 organismes. «Je livre la marchandise et j’en suis fière», illustre bien Karine.

Pour Karine Vallières : «Etre députée, c’est toujours pour moi être un modèle d’écoute, de présence, de porte-voix à l’Assemblée nationale, de positivisme aussi, mais également de réalisme. J’exerce un leadership constructif et de transformation. Je le dis encore, je ne fais pas de politique, je la vis. C’est ça, selon moi, la recette. Ma politique principale?

Celle du gros bon sens! C’est comme ça que j’aborde les situations, les dossiers», confie celle qui est de plus en plus reconnue pour sa grande présence sur le terrain, mais aussi pour sa capacité d’analyse des enjeux, son sens pragmatique pour la recherche de solutions et son franc-parler.

Sur la colline

Quant à son rôle de whip adjointe du gouvernement, il la comble beaucoup professionnellement, lui permettant de jongler avec

le parlementarisme dans sa plus grande expression. «Participer aux rencontres des officiers parlementaires chaque semaine

avec le premier ministre, les leaders, les whips et la présidente du caucus, m’occuper des députés en période de garde, assurer

les présences lors des temps de chambre, etc. sont autant d’aspects qui me permettent de me mettre en contact avec tous mes collègues et les stratégies parlementaires», indique Karine qui, parce qu’elle concentre son travail à Québec sur trois jours, arrive à consacrer la majorité de son temps, soit quatre jours, à rencontrer et à écouter les gens dans le comté.

«On doit agir avec rigueur, encore et encore, assumer nos responsabilités quant à notre avenir collectif. Et cela, pour être libres de nos choix et avoir la possibilité de réaliser de grands projets ainsi que des projets locaux structurants pour nos régions, nos comtés, nos municipalités. Je n’ai pas dit que ce serait facile. Il y a des choix difficiles à faire. Je les assume.

Parce que j’y crois. Changer le rôle de l’État et nos façons de faire, le changement, cela perturbe le quotidien», explique Karine, tout en rassurant les gens sur sa préoccupation constante de représenter la voix de la population dans les prises de décisions.

«Ce n’est pas toujours facile, mais je vise l’équilibre», conclut-elle.