La population au rendez-vous pour accueillir Marie-Denise Pelletier

TÉLÉVISION. Les Plessisvillois n’ont pas raté l’occasion de montrer toutes les vertus de leur municipalité lors du passage de Dany Turcotte et de l’émission La petite séduction.

Ils ont été des centaines, voire des milliers, à épier les moindres faits et gestes de l’animateur et de son invitée, la chanteuse Marie-Denise Pelletier, au cours du week-end. La chanceuse en était à son premier passage dans la région.

Celle qui a passé à de nombreuses reprises sur la 116 sans toutefois arrêter dans la région de L’Érable a été accueillie à bras ouverts par le comité organisateur et la population. «Les gens étaient heureux de nous recevoir et heureux de nous rencontrer», a-t-elle remarqué.

Tout au long du tournage, d’une durée de trois jours, elle a pu s’imprégner des beautés qu’offre Plessisville. La température étant au rendez-vous, tous les ingrédients étaient en place pour un moment magique.

«Ça s’est déroulé de surprise en surprise. J’ai mal à la mâchoire, tellement j’ai eu le sourire accroché au visage depuis mon arrivée», a-t-elle commenté.

Le tout a débuté avec une visite à l’érablière de Réal Vigneault, sur la route de Sainte-Sophie-d’Halifax. Une partie de sucre l’attendait, avec la présence du groupe Blanc de mémoire.

«Mon cœur d’enfant est à la cabane. Je suis né pendant le temps des sucres (3 avril). Il faut avouer que le sirop d’érable ici est étonnant. Je suis habitué à Saint-Hyacinthe, mais celui-ci est dur à battre. Probablement le meilleur au monde», a confié l’artiste, admettant que le surnom de Plessisville, la capitale mondiale de l’érable, lui sied bien.

Marie-Denise Pelletier a également vécu des moments touchants à cet endroit, lorsque les spectateurs ont cantonné Le crédo du paysan. Il s’agissait d’une chanson que sa mère, décédée il y a cinq ans, lui interprétait plus jeune.

Par la suite, Dany Turcotte lui a remémoré des souvenirs en récapitulant, sous forme d’épreuves, ses emplois antérieurs. Sous le signe des Douze travaux de Marie-Denise, inspiré de sa bande dessinée préférée, Astérix et Obélix, Plessisville s’est transformé en un village gaulois.

Après le Défi de Dany, où il devait choisir l’animal le plus exceptionnel de la municipalité, Marie-Denise s’est retrouvée à l’église Saint-Calixte. Dans l’enceinte religieuse, le chœur Voxalik s’est offert en prestation, ce qui a donné une autre scène émotive.

Le tout s’est toutefois conclu sur une note festive. L’artiste a fait ses adieux à la communauté plessisvilloise au Carrefour de L’Érable, lors d’une grande célébration.